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I never said "Thank you"

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Roman Hill
Roman Hill
Messages : 48

Mer 14 Sep - 14:53

Jules Capulet

Roman Hill

A lie for a smile
C'est tellement plus facile à dire que à faire. De se défaire de son image, de faire ce qui nou plait....mais comme avant la malédiction, il n'y a qu'un drame qui peut m'arracher à ma prison personnelle. Seulement un drame...et cette fois qu'est-ceque je vais perdre pour parvenir à m'arracher a mon rang, à mon image, à ma réputation? Dis-moi Jules, est-ce qu'il faut que je cesse de courir après toi pour être heureux? Où que je passe à l'acte pourcesser de rêver au bonheur? Dis-moi, qu'est-ce que je dois faire pour être aussi libre que toi?

Si, elle a un prix la liberté. Le prix du courage et de la force. Le prix de ce que je n'ai pas, et que je n'ai jamais eu. La force de laisser derrière tout ce que l'on connait...la force de tout envoyer en l'air. Mais je ne l'ai pas. Je deteste mon rang, je deteste ma réputation de tombeur et de drageur, je deteste ce regard que tu poses sur moi comme si j'étais l'être le plus inacessible du monde...Et parce que j'ai peur de ce regard comme j'ai peur de mon ombre le soir, lorsque je suis seul dans mon appartement je suis incapable de tout lacher.
"Des congés, tu en as des bonnes toi des fois..."

Oui de très bonnes. Et si je te disais "si c'est toi qui me masse je les prends des congés sur le champ" mais ça aussi je ne pouvais pas te le dire sans avoir honte de te regarder en face ensuite. Je n'ai pas honte de mes sentiments, j'ai honte de ne pas être capable de te le dire et det de tout garder pour moi, honte d'avoir peur de te perdre en te disant le fond de ma pensée, et de malgré tout être jaloux de tout les regard que tu attire sans le voir.

Toi. C'est toi que je veux. J'aimerais pouvoir te repondre ça. Te dire que je vais rester avec toi quoiqu'il arrive. Mais j'en suis incapable, je sens même l'enfer s'ouvrir sous mes pieds.
Et tu pose ta main sur mon épaule. Le monde autour de moi s'efface, je ne sens plus que ça. Ta main sur mon épaule. Je lutte pour essayer de respirer. C'est comme si chacun de tes contact était de plus en plus difficile pour moi. Mais je dois faire bonne figure, encore et toujours. Je dois faire ce que je sais faire de mieux...faire semblant de rien. Je dis rester le petit prince inaccessible. Dire que si j'avais des soucis avec les paparazzi...ils pourraient s'en donner a coeur joie "nouvelle relation pour le célèbre mannequin Roman?" et ils auraient si peu tord pour une fois....enfin si seulement j'avais une chance.

On a beau dire, c'est toujours ce qui est plus proche de nous, si facile a toucher que l'on ne peut avoir sans avoir peur de tout gacher.
Et c'est ce que je me dit pendant que tu es rester figer en arrière. Je ne veux pas savoir ce qui dans mes parole t'a fait réagir ainsi. Si une simple allusion au besoin que j'ai de t'avoir près de moi te fige, alors qu'est-ce que ça serait si je te disait tout le reste? Si je te disais le contenu de mes pensées, si je t'avouais la place que tu as dans mon esprit et ailleurs? Et j'ai honte de tout cela...parce que tu as tellement de pouvoir sur moi que j'ai honte de cela. Même si je lachais tout et que je vivais ma vie, tu serais toujours dans ma tête...je serais toujours prisonnier de mes sentiments pour toi. Ce n'était pas mon métier qui me rendais ainsi, c'était simplement le bordel de mes sentiment que je ne parvenais pas a gerer. Peu importe que je sois seul ou non dans mon lit....si tu savais tout cela, je te ferais certainement peur.

Alor je profite de ce moment seul pour remettre mon armure, pour respirer un peu. Je me sens plus leger pendant quelques minutes. Et tu reviens. Tu repose ta main sur mon épaule, et de nouveau le monde me semble si étroit que j'ai envie de hurler. J'ai envie de te dire combien chacun de tes gestes me fait mal.

Et je dis, avec une note d'ironie dans la voix
"Garde ça pour ta future conquête ou je vais me faire des idées."


Et je me mets a rire. Un rire qui ne sonnent pas faux, mais qui peut sembler étrange. Mets ça sur la fatigue. Et je fini par pousser un long soupir.
"Excuse-moi, c'est pas mon genre d'être aussi pesismiste...j'ai un peu gaché tes remerciement."


Je tourne la tête vers toi, et t'offre un sourire triste. Il pourrait presquer ressembler a un sourire de quelqu'un qui part pour ne jamais revenir, mais je serais incapable de faire cela. Même si je souffre près de toi, je n'ai ma place nulle part ailleurs.
"On ira boire un coup, un soir, à l'occasion...ça nous changera les idées à tous les deux..."

Je pose a mon tour ma main sur ton épaule, la tapotant doucement, en souriant toujours. Mais maintenant, il faut que j'y ailles, à l'hopital, recevoir le sermon du saint docteur qui va me dire la même chose que toi, de manière plus ferme. "Si jamais vous ne vous reposez pas, je vais vous attacher ici, au moins je suis sur que vous aller prendre ces quelques jours de repos. Enfin comment voulez vous que votre corps se refasse si vous n'êtes même pas capable de prendre un peu de repos"....c'est ce qu'il allait me dire...Encore...car contrairement à toi, je cicatrisait trop lentement, et relativement mal.
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