Invité | Dim 4 Oct - 19:10 | | Vous voulez une petite histoire? Venez, venez! Et si je vous disais que Sherlock Holmes venait du monde sans couleur? [Est devenu la fiche de mon DC] Voici... Sherlocked! - Chapitre 1:
Je n'ai jamais pris le temps de remarquer cela. Les phrases, les mots peuvent nous faire ressentir des choses si belles, mais parfois aussi des sentiments plus destructeurs. À une époque, je faisais de la boxe. Faut le dire, avoir un poing dans la figure semble parfois plus favorable que de redouter que la personne que tu aimes le plus se détourne de toi en découvrant ton pire secret...
Cher lecteurs, soyez quelque peu indulgent envers moi, s'il vous plait. Je n'ai pas le même don pour l'écriture que John, lui-même. J'espère que je saurai vous captivez quelque peu avec mon récit assez original, il faut le dire. Je ne viens pas du même monde que vous et ce que je vais vous révéler vas surement vous sembler invraisemblable malgré que ça reste la pure et simple vérité.
Par où commencer? Par le commencement? Non, trop ennuyant! Watson vous a déjà dit tout ce qu'il sait de mon passé. Je devrais plutôt commencer par la fin! Je crois que ça, jamais vous l'avez sût, n'est-ce pas? Donc, voilà... Je suis mort! Enfin, pas vraiment, mais les gens autour de moi devaient le croire. Surtout John... Je me sens mal encore aujourd'hui de l'avoir laissé pleurer la mort de son meilleur ami, mais je me devais de disparaître et ce, pour la sécurité de tous.
À cette époque, j'habitais en colocation avec John Watson depuis trois ans déjà et nous avions enquêté sûr de nombreux crimes dont le cas de Jack L'éventreur qui ne fut jamais révélé au grand public ainsi que sur celui du chien des Baskerville que je vais vous résumer un peu plus tard. Il nous arrivait parfois de nous disputer pour des choses futiles comme autour de quoi la Terre tourne...
- La Terre tourne autour du soleil, Sherlock! - Qu'est-ce que cela fait que nous tournons autour du Soleil? Il y aurait-il une différence si nous tournions autour d'un manège comme des chevaux de bois ou autour d'une borne fontaine comme des chiens qui cherchent à se soulager?! - Ça changerait bien des choses, crois-moi!
Parfois, nous faisons des choses plus utiles comme attendre la visite de Lestrade qui nous demandait notre aide lorsqu'il se passait quelque chose de gros. Ce soir-là encore, mon cher ami le chef de la police de Scotland Yard vint chercher mon aide en cet été de 1878.
- Sherlock! Il y a monsieur Lestrade qui semble vouloir vous voir, m'appela madame Hudson, ma gouvernante. - Plait-il?, répondis-je en entrant dans le salon où mon frère (Mycroft Holmes), John, Miss Hudson et Lestrade m'attendaient avec la mine grave. - Mon frère, habille-toi, notre calèche nous attend, m'ordonna Mycroft avec un air sévère.
Ignorant mon frangin comme à l'habitude, je me tournais plutôt vers ceux qui m'intéressaient le plus. Je n'allais pas retirer mon pyjama pour une affaire futile comme me demandait parfois Mycroft qui se croyait tout permit parce qu'il travaillait pour la famille royale.
- Moriaty vous a laissé un message, répondit Lestrade. - Voilà, quelque chose d'utile! Tu devrais prendre son exemple, grand-frère, lui, au moins, il est bref et précis!
Je savais qu'il devait m'avoir lancé une répartit digne des Holmes, mais je ne l'écoutais guère et je me suis rendu dans ma chambre pour mettre mes habits ainsi que mon bon vieux chapeau haut de forme digne d'un gentleman. J'étais enfin près à partir et j'ai suivi les autres hommes à l'extérieur pour entrer à l'intérieur du fiacre qui nous attendait.
Le trajet ne fût pas très long puisque nous restions à Londres. C'était le château de la reine qui avait été pris comme cible, mais rien semblait manquer. Même pas la couronne et les autres bijoux royaux qui se trouvaient dans le bureau de la reine qui, d'après mon grand-frère, était toujours surveillé jours et nuits. Bien sûr, j'observais le lieu du crime méticuleusement. Il semblait que le professeur Moriarty s'était installé sur le fauteuil de la reine avec la couronne sur la tête. Sur le bureau, une phrase paraissait avoir été gravé dans le bois: « Trouve-moi, Sherlock avant que je ne te fasse couler».
- Qu'en déduis-tu, John?
Comme à son habitude, il observa le meuble en fronçant les sourcils. Avec moi comme professeur, il avait fait des progrès en déduction, mais il n'arrivait pas encore à me surpasser.
- Je crois qu'il veut nous montrer l'étendue de ses capacités. S'en prendre à la couronne, se serait presque de la folie s'il n'était pas aussi intelligent que toi.
- Oui, mais encore?
- Je n'en sais rien, explique...
- Oui, il est vrai qu'il veut nous montrer qu'il a des contacts partout. Par contre, il veut nous avertir de son prochain coup à venir. Ce dernier sera encore plus gros qu'entrer par effraction dans l'endroit le plus garder d'Angleterre.
- Que fera-t-il?
- Je n'en sais rien, mais je vais tenter de le découvrir...
- Chapitre 2.:
Les jours ont passé avec une lenteur abominable. On aurait dit que le crime s'était arrêté de partout et ce, d'un seul coup. Le calme régnait au 221 B Backer Street. Enfin... Jusqu'au moment où je suis sorti de mon sommeil paradoxal. Tirant sur le mur en face de moi, j'inscrivis les initiales de cette bonne reine Victoria sur le mur au plus grand désarroi de John.
- Mais enfin! Qu'es-ce que tu fabriques?!!!, s'écria John en rentrant dans le salon. - JE M' EN-NU-I! JE M'EN- NUI!!!
Un nouveau coup de feu résonna dans la pièce.
- Tu vas arrêter cela maintenant, Sherlock! Tu terrifis mes clients, en bas!
Précautionneusement, il me retira le fusil des mains et le déposa sur la table basse avant de me donner une enveloppe dont seul mon prénom avait été inscrit.
- Tu as reçu cette lettre ce matin. - Tu as vu la personne qui a déposé ça?, demandais-je en la prenant avec attention. - Non, il n'y avait plus personne lorsque je suis allé ouvrir.
Lentement, j'ai ouvert la lettre (croyant à un dispositif) et je fus déçu de voir que ce n'était qu'une invitation pour moi et mon compagnon à la plus grande soirée de ce jour donné dans le château des Frankenstein. Ce dernier était vide depuis la mort du propriétaire et de la disparition de ses deux fils. Il lui semblait que l'homme ayant racheté cette maison s'appelait Lorde Shelley et qu'il y avait emménagé avec sa femme.
- J'irais pas... - Voyons, Sherlock! C'est la plus grande soirée de l'année!, fit Watson après m'avoir arraché la lettre des mains. Tu pourrais peut-être rencontrer d'éventuels clients... - Si tu le dis... - Avec un peu de chance, il y aura un beau meurtre. De quoi te remonter le moral...
Il était ironique, je le sais bien, mais quelque chose attira mon attention. Meurtre... Il n'y en avait pas eu depuis tellement longtemps! Aucun crime, d'ailleurs. Et celui qui se trouvait au centre de la toile...
- Le professeur Jim Moriarty se trouvera à la soirée... - Attend... QUOI? Comment peu-tu... - C'est évident! Il attend le bon moment pour s'attaquer à moi pour montrer sa puissance. Ça ce passera ce soir! Nous devons nous y rendre!
Voilà la raison pour laquelle John et moi étions assis dans une calèche direction le manoir Frankenstein. La route fût longue vers ce lieu de fête et lorsque nous sommes arrivés, il faisait déjà noir et déjà plusieurs invités dansaient dans la salle de balle.
- Messieurs, on vous invite chaleureusement dans le grand salon à rejoindre Lorde Shelley.
En ce lieu, on nous offrit champagne et cigare (que je ne refusai point) avant de nous indiquer que nous pouvions nous asseoir où nous voulions. Monsieur Harold Shelley m'expliqua sa grande joie de ma présence ici, ainsi que celle de John, à cette petite fête mondaine puisqu'il lisait les nouvelles que mon ami faisait paraître dans «The Times». Ainsi, il trouvait que j'étais le meilleur détective de tous les temps et blablabla... Je savais déjà tout cela. Les minutes passaient et je me demandais si Jim allait se présenter...
- Tu t'es peut-être trompé, cette fois?, fit John. - Je suis sûr qu'il viendra! Il ne manquerait une soirée comme celle-ci pour rien au monde...
Puis nous eûmes la réponse à cette question. J'avais raison... Lorde Shelley accueillit un certain Richard Brook , professeur à l'université de Montréal venu pour supposer conférence. L'homme, avec un sourire aux coins des lèvres, me regardaient du coin de l'œil pendant que je l'observais avec méfiance. Je voulais bien savoir à quel petit jeu il jouait. Les deux hommes s'approchèrent de nous comme je m'y attendais.
- Holmes! Il faut que je vous présente Richard Brook ! Il vient d'arriver de la «Province of Quebec» et je vais l'accueillir chez moi pour la semaine, annonça finalement notre hôte .- Sherlock Holmes, fis-je en lui tendant la main. - Je sais..., me répondit-il en me faisant un léger clin d'oeil. - Je vais vous laisser. Brook n'arrête pas de me dire qu'il est aussi passionné que moi par vos aventures et je suis sûr qu'il a de nombreuses questions à vous poser...
Il nous laissa comme prévus. Moi et John regardions ce vieil ennemi de toujours qui faisait de même avec un regard malveillant et avide de sang. Je le voyais, tout allait se jouer ce soir. Qui allait tuer la reine de l'autre? Bien sûr, depuis le début, ce n'était qu'un simple jeu d'échec. J'avançais mes pions et il faisait la même chose de son côté. Le perdant... meurt.
- Docteur Watson, fit soudainement Moriarty. Pouvez-vous nous laisser, je vous prie? Je dois parler seul à seul avec votre... ami.
Mon meilleur ami ne dit rien, mais il m'adressa un regard qui voulait tout dire. Il allait rester non loin en cas de danger. C'est ce que j'ai toujours aimé de lui. Sa loyauté sans borne me touche au plus profond du cœur. C'est le premier qui fût vraiment là pour moi. Donc, c'est à regret que je le regardais s'éloigner en jetant de longs regards noirs à l'intrus en face de moi.
Comment vous le décrire? Sans son regard d'assassin fou, il ressemblait à n'importe quel homme de la haute société. Cheveux noirs bien peignés, joues rasées de prêt, yeux bruns perçants et costume chic noir. La seule chose qui contrastait était la bosse dans son veston qui semblait avec la forme d'un... Pistolet?
- Très bien Sherlock, très bien! Tu as compris que je viendrais ici pour cette dernière manche! Avant de venir, je me suis permis de t'emprunter un accessoire, j'espère que cela ne te dérange pas!
En le disant, il me montra discrètement mon pistolet que j'avais oublié sur la table de mon salon de Baker Street. Je fronçais les sourcils, croyant savoir où il voulait en venir...
- Tu veux que je me suicide devant tout le monde, n'esse pas?
- En fait... Pas tout à fait! Je veux que tu détruise ta réputation et que tu te suicides, après!
- Te connaissant, tu n'as rien laissé au hasard...
- Tu as bien deviné, Sherlock! Bravo! Si tu ne le fais pas, je demande à mes hommes de faire exploser ce si beau manoir avec autant d'innocents à l'intérieur. Ils mourront tous! Même John...
- Je ne connais pas d'homme aussi vile...
- Merci, c'est gentil! Maintenant, je te laisse la scène! À toi de jouer, Meastro!
Il s'écarta de moi. Rapidement, j'observais la pièce en analysant ce que je voyais. Des fils avaient été cachés sous le tapis et ils sortaient par la fenêtre. Dehors, je voyais des hommes se tenir prêt d'une boite. Des explosifs... Ce n'était inévitablement pas du bluff et j'allais avoir de nombreuses victimes sur la conscience si je ne faisais rien. Alors, tout se passa très vite.
- Attention, il est armé!!!
Je venais de reprendre mon arme à Jim en lui plaquant celui-ci sur la tempe et le retenant fermement par le bras gauche qui lui enserrait le cou. Je pouvais entendre les cris de surprise de ceux qui se trouvaient la pièce. Je reculais lentement vers le balcon qui donnait sur le cimetière. La descente allait être raide et il était fort possible que je me rompe le coup en sautant, mais je devais le faire!
- N'approchez pas! Vous ne m'empêcherez pas de le tuer! - Très bien Sherlock!, chuchota mon Nemesis. Ils croient tous que tu veux m'assassiner.
Je croisais le regard de John. Il semblait épouvanté et ne plus savoir qui croire. Jim Moriarty essayait depuis longtemps de faire basculer notre amitié en disant de moi des horreurs. Lui racontant qu'un jour, cela ne me suffirait plus de mener mes petites enquêtes. Le prochain cadavre, ça allait être moi qui l'aurais posé là. Il ne savait pas si bien dire... Arrivé près de la rembarre, je pressais de plus en plus sur la gâchette.
- Maintenant, tu vas me tirer dessus et tu sauteras en bas. Je survivrais, il y a des balles à blanc dans le chargeur. Toi par exemple, ton cou risque de faire... CRAC! - Non... NOUS ALLONS SAUTER ENSEMBLE! -QUOI?!
C'est alors à ce moment que je refermai mes bras autour de mon ennemi dans une dernière étreinte pour tomber dans le... vide.
- Épisode 3:
Je croyais être mort. Faut le dire, j'aurais dû perdre la vie puisque la chute était vertigineuse. Pourtant, au travers de mes paupières closes, je voyais de la lumière vive. Les ouvrants, je remarquais que j'étais étendu sur une table d'opération pendant que cette vive lumière provenait des néons au-dessus de moi. À côté de moi, une seule personne m'observait en souriant. Une femme que j'avais déjà rencontrée auparavant dont j'ignore le réel nom... Vous vous souvenez que je vous avais parlé de l'enquête des chiens des Basckerville? C'est maintenant que je vous la raconte brièvement.
Un homme se présenta accablé au 221 B Backer Street avec la certitude que des chiens fantômes hantaient la lande. John n'y croyait pas pendant que moi... je laissais la place à la déduction. Lorsque tout ce qui est plausible n'est pas dans la solution, il ne reste que l'improbable. Donc, voilà pourquoi j'envoyais John enquêter au manoir sans lui dire que je le faisais de mon côté, incognito. C'est là-bas que j'ai croisé une femme étrange qui disait chercher une bête s'étant enfui de la forêt enchantée.
- Quel genre de bête?, demandais-je avec curiosité.
- Un énorme chien fantôme noir comme l'ancre avec des yeux rouges sang!
Bien sûr, je n'avais pas la certitude qu'elle avait raison (déjà qu'elle est folle), mais je la suivie quand même pour en savoir plus. Il s'avéra qu'elle disait vrai et que ce chien tuait des victimes innocentes. Grâce à mon aide, il fût tué avec un étrange fusil combinant magie et science. C'était sa spécialité, les mélanges de deux pratiques peu communes.
Maintenant, je me trouvais de nouveau en sa compagnie et elle semblait vouloir me dire quelque chose sans y arriver. Peut-être que j'avais péris, après tout?
- Holmes... Vous vous souvenez de ce qui vous est arrivé?
Je fronçais les sourcils sur le coup. Mes souvenirs me semblaient flous et si indistincts. Me concentrant, je réussis à reprendre le contrôle de ma mémoire.
- J'ai sauté pour protéger les autres avec Moriarty... Il est?
- Mort? Je ne sais pas. Je n'ai pas trouvé son corps...
- Les invités?
- Vivants, tous. Y compri John...
Je soupirai de soulagement. Il ne lui était rien arrivé, voilà une bonne nouvelle.
- Je vais y aller. Je dois prévenir John que je suis...
- Hey, vous ne sortirez pas de là! Ils vous croient tous mort et je suis persuadée que votre Nemesis se trouve quelque part et vous cherche également.
- Que dois-je faire?
- Changer de tête!
Elle me permit de m'asseoir et elle me montra une étrange machine en forme de cylindre fait de fer. De nombreux rouages se trouvaient sur l'étrange objet avec deux gros boutons rouges et verts ainsi ce qu'elle appelait un «clavier». Je pouvais devenir n'importe qui et changer de vie. Seule règle, ne dire à personne qui je suis vraiment.
Je savais qu'elle avait raison. Que je devais me cacher et passer à autre chose. Me faire oublier pour un long moment. Pourtant, ce fût dur d'accepter le fait que devais laisser mon meilleur ami derrière moi comme s'il n'avait été qu'une simple connaissance.
- Choisie pour moi. Je n'ai pas de préférence...
- D'accord, mais je t'avertis que l'aléatoire peut sortir n'importe quoi!
Voilà comment je suis devenu Mary Morstan. Je n'imaginais pas que je serais devenu une femme. Dans ce nouveau corps, je me sentais comme coincé. Trop petite et trop maigre cette Mary. Du moins, cela suffirait pour disparaître. Je pouvais maintenant retourner à Londre avec ma seule amie. Elle me fit passer pour une gouvernante et je trouvais un boulot en tant que tel. Faut le dire, je croyais que ce serait facile. Erreur! Des enfants, ce n'est pas facile à gérer tout seul!
Deux ans plus tard, je marchais pour me rendre au marché. Je m'étais habituée à porter des corsets, mais je trouvais (et trouve encore) qu'il paraissait être la pire invention du monde avant les talons hauts. Soudain, je le vis. Lui! Lui, mon meilleur ami! Mon cher John discutait avec un collège de travail. Il n'avait plus de moustache, voilà une bonne chose. Heureux comme un fou, je suis allé le voir...
- John!
Il se tourna vers moi, intrigué. J'avais oublié. Il ne pouvait pas me reconnaître...
- Nous nous connaissons?
- Non! Excusez-moi, je vous ai pris pour un autre John qui vous ressemble étrangement!
- Vraiment?, demanda-t-il avec amusement.
Non, je n'aurais pas dû. Je sais! Pourtant, cela faisait de bien de lui reparler et de rire avec lui. C'est pour cela que j'acceptai son invitation pour un café. Puis un thé le lendemain. Ensuite, je ne pus refuser de le suivre dans une nouvelle soirée mondaine. Je n'aimais pas trop, mais je pouvais tenir compagnie à mon bon vieux Watson. Là où il m'embrassa pour la première fois. Oui, oui, un baisé langoureux avec mon meilleur ami! Je croyais que j'allais m'évanouir. Par contre, j'ignorais si s'était de dégoût ou ... de plaisir.
C'est un an plus tard, lorsque je me trouvais empêtré dans une relation amoureuse assez étrange, je finis par comprendre ce que je ressentais pour lui. La femme n'avait jamais eu un aussi grand effet sur moi (une autre longue histoire). C'est pour celle que j'ai accepté de devenir sa femme.
Maintenant, je suis à Storybrook avec John. Nous sommes arrivés avec les nouveaux arrivants et je peux dire que je suis assez perplexe. Notre bon vieux 221B Baker Street nous a suivi ainsi que toutes nous affaires. Je ne me rappelle de rien. J'ai bien l'intention de découvrir ce que nous faisons ici et pourquoi et ce même si je dois travailler avec des gens plus ou moins... intelligents. De plus, un danger plane. Les gens disent que Moriarty est vivant et qu'il veut dévoiler mon pire secret.
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